Je pourrais commencer mon histoire à partir de mes premiers cris, mais qui s'en soucis ? Personne, personne ne portait attention à moi avant que je porte ce masque. Bien évidemment, je ne l'ai pas acheté chez l’antiquaire du coin, il fut fabriqué sur mesure pour moi par mon mentor, mais avant cela, laissez moi vous raconter les raisons de ma rencontre avec le maître de la ligue des ombres.

Les États-Unis d’Amérique sont réputé pour avoir des châtiments horribles à ceux qui volent ou bien qui tue, mais croyez moi, la peine de mort n'est pas la sentence la plus terrible que l'on peut donner à un homme. C'est une délivrance comparativement à ce qui se passe dans certaines prisons d'Iran. Des prisons secrètes qui, pour certains, ne sont que des légendes. Difficile de dire le contraire lorsque aucun homme n'en est ressorti pour en témoigner.

J'avais été l'un de ces voleurs, du côté de la frontière qui ne pardonne pas. Du même côté qui ne te laisse pas le temps de t'expliquer. C'était le début de ma vie et pourtant déjà la fin de l'homme que je comptais devenir. Lorsque je fis jeter dans cette prison je compris rapidement le sens du mot survie. Tous était mal nourri et malades, nous avions tous notre petite cellule sans grand espoir de revoir la lumière du jour mis à part par l'énorme trou que personne n'était capable d'escalader. L'on se croit tous meilleur que les autres, plus fort, plus habille. mais l'ascension demande plus que ça. Personne pourtant n'avait trouver le moyen d'échapper à son espoir. J'étais dans cette tombe depuis des mois, peut être des années en fait. J'avais fini par arrêter de compter, me disant que je devais me résigner à regarder ses murs ou à mourir la tête fracassée sur une énorme roche luisante du sang d'autrui. C'est alors que les rumeurs commencèrent, des rumeurs qui ne cessèrent de prendre de l'ampleur plus les heures passaient. Une femme aurait été jetée dans la fausse. Je ne cru ces hommes que lorsque je l'a vis. Pour des hommes qui ne sente que la virilité de l'endroit durant la majorité de leur vie, c'est un choc que bon nombre d'entre nous on eu de la difficulté à digérer. D'autant plus qu'après quelque temps, elles étaient deux. Ce genre de chose n'était jamais arrivé. Personne ne savait vraiment quoi faire pour cet enfant. Grandir entre des murs de fer rouillé, ne jamais voir la lumière du soleil de prêt. La petite fille devait avoir environs neuf ans lorsque la tragédie arriva. Moi, j'y était depuis une quinzaine d'années, mais l'à encore ça n'a que peu d'importance. Je me souvient de cette journée comme si c'était hier. Le médecin de la prison avait pour habitude de visiter les deux dames, mais cette fois-ci, il ne ferma pas bien la porte derrière lui. Je n'eus le temps que de prendre l'enfant avant que des hommes assoiffé de besoins primitifs se jetèrent sur la mère. Elle fut violée, battue et re-violée alors que j'apportais Talia loin de cette scène d'horreur. Je l'apporter à la sortie du puits d'une façon instinctive, mais ce n'est que lorsque je regardai dans les airs que je me suis dit qu'elle n'allais pas arrivée à gripper toute seule. Me faisant attaquer je n'eus d'autres choix que de la laisser risquer sa vie pour l'ascension. Le pire qu'il puisse arriver ce soit la mort. « Et puis, n'était-il pas mieux qu'elle tombe et meurt que d'être violé à l'infini par ces barbares ? » Je perdu conscience à l'instant même. Avais-je tombé au premier coup de poing que j'avais reçu ? À mon retour dans cet enfer maudit, je ne pouvais même plus regarder. L'enflure de ce qu'il restait de mon visage m'en empêchait. Je ne me souvient de ces instants que par bout. Probablement que la souffrance de se faire arracher le visage était trop pour un simple homme, me faisant divaguer et perdre conscience à plusieurs reprises. Pendant ce temps, la petite fille avait retrouvé son père et lui avait expliqué l'histoire, quelques jours plus tard, des dizaines d'hommes descendaient dans les grottes pour me délivrer. Mais il était trop tard. La souffrance que je subissais ne pouvait durer. Je devais faire en sorte qu'elle cesse et j'avais bien peu d'options mis à part la mort. Enfin, c'est ce que je croyais jusqu'à ce que l'on installe sur moi ce masque.

C'est ensuite, que l'histoire de Bane commença. Le père de Talia m'introduisit dans la ligue des ombres et il était mon mentor. Il m'apprit ce que j'ai de plus précieux présentement. Redessinant l'homme que j'étais. Je devin rapidement un habile stratège du combat devenant de plus en plus fort et dangereux. Je fis malheureusement excommunié de la ligue, car bien que j'étais un bon combattant, je restais un monstre. Ra's ne supportait pas de me voir avec sa fille, sa perle. Je quittai la ligue et l'Iran me consacrant au crime. Je commençais déjà à me faire connaitre, en autre par ma cruauté, lorsque je retrouvai Talia. Son père avait été assassiné et c'est ensuite que nous voulurent le venger. Mes plans se déroulèrent assez bien jusqu'à ce que Batman se mit
au travers de mon chemin. Le cassant en deux et croyant l'avoir vaincu, il déjoua mes plans et réussi à m'humilier, mais cette fois-ci, je n'aurai aucune clémence.